Première partie
Que des opérateurs d`agences se plaignent ouvertement de ce que la clientèle exige de leurs filles des pratiques susceptibles de mettre la santé publique à risque mais qu`en même temps ils imposent à ces mêmes filles de pratiquer ces dits services peut sembler paradoxal, certains penseront ``hypocrite``. La logique économique nous enseigne cependant que la contradiction n`est qu`apparente.
D`emblée, je précise qu```imposer`` n`est pas une norme sine qua non. Je verrais mal les opérateurs d`agence forcer leurs filles à faire des choses qui les rébutent sans que, tôt ou tard, le chat vienne à sortir du sac, les forums de discussion étant une tribune toujours réceptive à la dénonciation publique.
Sauf que, par exemple, la fellation non protégée étant une norme de marché, je m`imagine très bien les opérateurs d`agences expliquer, aux escortes qui s`y refusent, que leur manque de compétitivité tient, justement, à ce qu`elles s`y refusent. Si tel n`était pas le cas, comment expliquer alors que certaines agences, plus que d`autres, sont réputées pour le ``service libéral`` qu`elles offrent? Autrement dit, comment certaines agences parviennent-elles à se forger de telles réputations si elles n`y contribuent pas elles-mêmes?
Les Filles de M. Jacques fut, dans ce sens, un précurseur. Au lieu de recruter des ``pétards``, comme le faisaient les autres agences, il allaient plutôt chercher le type ``girl next door``, moins avantagée physiquement, à qui l`on demandait de compenser en offrant un service dit ``libéral``, entendons aussi ``plus risqué``. La recette a eu du succès et d`autres agences ont aussitôt emboîté le pas avec le résultat que le service libéral (qu`on nomme aujourd`hui GFE) s`est imposé comme norme.
Dans le jeu de l`offre et de la demande, il ne faut pas perdre de vue que si les clients exigent un service GFE, les opérateurs n`auront qu`à se mordre les doigts parce que ce sont eux qui, à l`origine, ont stimulé la demande en voulant se démarquer des autres. ll est fort à parier d`ailleurs que ce ne sont pas tous les clients qui, même aujourd`hui, exigent ; j`aurais même tendance à penser que, à ce niveau, l`offre dépasse la demande.
Ceci étant posé, que le service soit devenu ``trop GFE`` aux yeux des opérateurs d`agences mais qu`ils se plaignent en même temps que les clients l`exigent aux tarifs horaires courants, témoigne bien de leurs véritables préoccupations. L`une de ces préoccupations n`est certainement pas de l`ordre de la santé publique, celle-ci ayant des acceptions qui sont en contradiction, sinon étrangères, à la logique marchande qui sous-tend les opérations quotidiennes d`une agence. La seule préoccupation, en fait, la seule motivation, qui s`accorde avec l`objectif principal - le ``mission statement`` - de toute agence est celle du ``profit``.
Or, dans un tel cadre d`idées, la complainte des opérateurs d`agences à l`égard du service GFE ne tient pas de ce que ce service mette à risque la santé des escortes et de leurs clients: c`est une préoccupation secondaire. La complainte s`inscrirait plutôt dans une réalité économique toute simple, qui peut être exprimée en ces termes: ``le service GFE ne rapporte pas assez``. Les tarifs courants subissant à la fois les pressions du marché et de la compétition, la tentation est grande de diminuer le service GFE de base - par exemple remplacer par cbj - pour finalement pouvoir charger un supplément pour .
Suivant un tel processus, on peut mieux comprendre l`intérêt que les opérateurs d`agences ont, de non seulement de le maintenir, mais de pousser le : celui-ci rapportera plus d`argent le jour ou` la culture du safe-GFE, aux taux courants, sera acquise. Pas de contradiction, donc, dans le discours des opérateurs d`agences: le discours est en parfaite conformité avec la logique marchande. S`ils se préoccupaient vraiment, sincèrement, de la santé de leurs filles, ils leurs diraient simplement de ne plus se livrer au .
Que des opérateurs d`agences se plaignent ouvertement de ce que la clientèle exige de leurs filles des pratiques susceptibles de mettre la santé publique à risque mais qu`en même temps ils imposent à ces mêmes filles de pratiquer ces dits services peut sembler paradoxal, certains penseront ``hypocrite``. La logique économique nous enseigne cependant que la contradiction n`est qu`apparente.
D`emblée, je précise qu```imposer`` n`est pas une norme sine qua non. Je verrais mal les opérateurs d`agence forcer leurs filles à faire des choses qui les rébutent sans que, tôt ou tard, le chat vienne à sortir du sac, les forums de discussion étant une tribune toujours réceptive à la dénonciation publique.
Sauf que, par exemple, la fellation non protégée étant une norme de marché, je m`imagine très bien les opérateurs d`agences expliquer, aux escortes qui s`y refusent, que leur manque de compétitivité tient, justement, à ce qu`elles s`y refusent. Si tel n`était pas le cas, comment expliquer alors que certaines agences, plus que d`autres, sont réputées pour le ``service libéral`` qu`elles offrent? Autrement dit, comment certaines agences parviennent-elles à se forger de telles réputations si elles n`y contribuent pas elles-mêmes?
Les Filles de M. Jacques fut, dans ce sens, un précurseur. Au lieu de recruter des ``pétards``, comme le faisaient les autres agences, il allaient plutôt chercher le type ``girl next door``, moins avantagée physiquement, à qui l`on demandait de compenser en offrant un service dit ``libéral``, entendons aussi ``plus risqué``. La recette a eu du succès et d`autres agences ont aussitôt emboîté le pas avec le résultat que le service libéral (qu`on nomme aujourd`hui GFE) s`est imposé comme norme.
Dans le jeu de l`offre et de la demande, il ne faut pas perdre de vue que si les clients exigent un service GFE, les opérateurs n`auront qu`à se mordre les doigts parce que ce sont eux qui, à l`origine, ont stimulé la demande en voulant se démarquer des autres. ll est fort à parier d`ailleurs que ce ne sont pas tous les clients qui, même aujourd`hui, exigent ; j`aurais même tendance à penser que, à ce niveau, l`offre dépasse la demande.
Ceci étant posé, que le service soit devenu ``trop GFE`` aux yeux des opérateurs d`agences mais qu`ils se plaignent en même temps que les clients l`exigent aux tarifs horaires courants, témoigne bien de leurs véritables préoccupations. L`une de ces préoccupations n`est certainement pas de l`ordre de la santé publique, celle-ci ayant des acceptions qui sont en contradiction, sinon étrangères, à la logique marchande qui sous-tend les opérations quotidiennes d`une agence. La seule préoccupation, en fait, la seule motivation, qui s`accorde avec l`objectif principal - le ``mission statement`` - de toute agence est celle du ``profit``.
Or, dans un tel cadre d`idées, la complainte des opérateurs d`agences à l`égard du service GFE ne tient pas de ce que ce service mette à risque la santé des escortes et de leurs clients: c`est une préoccupation secondaire. La complainte s`inscrirait plutôt dans une réalité économique toute simple, qui peut être exprimée en ces termes: ``le service GFE ne rapporte pas assez``. Les tarifs courants subissant à la fois les pressions du marché et de la compétition, la tentation est grande de diminuer le service GFE de base - par exemple remplacer par cbj - pour finalement pouvoir charger un supplément pour .
Suivant un tel processus, on peut mieux comprendre l`intérêt que les opérateurs d`agences ont, de non seulement de le maintenir, mais de pousser le : celui-ci rapportera plus d`argent le jour ou` la culture du safe-GFE, aux taux courants, sera acquise. Pas de contradiction, donc, dans le discours des opérateurs d`agences: le discours est en parfaite conformité avec la logique marchande. S`ils se préoccupaient vraiment, sincèrement, de la santé de leurs filles, ils leurs diraient simplement de ne plus se livrer au .
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