Devant la commission Gomery, l'ancien président de Pluri Design affirme qu'il n'a jamais exigé de sommes d'argent destinées au Parti libéral, contrairement à ce qu'a déclaré Jean Brault, de Groupaction.
L'ancien président de Pluri Design, Jacques Corriveau, soutient qu'il n'a jamais demandé d'argent pour le Parti libéral du Canada.
Poursuivant son témoignage à la commission Gomery, M. Corriveau a répondu par la négative, invariablement, à toutes les questions à ce sujet posées par le procureur en chef de la commission.
Ainsi, contrairement à ce qu'a avancé le président de Groupaction dans son témoignage, il affirme n'avoir jamais demandé à Jean Brault des sommes d'argent pour le Parti libéral, n'avoir jamais demandé à M. Brault de payer des factures du PLC et n'avoir jamais demandé non plus de l'argent non déclaré.
M. Corriveau a fait les mêmes réponses aux mêmes questions concernant ses relations avec l'organisateur libéral Michel Béliveau, qu'il dit connaître depuis longtemps, et l'ancien directeur général du PLC au Québec, Benoit Corbeil. Il soutient que ce dernier ne lui a jamais demandé de demander de l'argent à Jean Brault.
Il a ajouté que ses activités de sollicitation pour le Parti libéral s'étaient limitées à des participations à des événements ponctuels, particulièrement en 1993, 1997 et 2000, années d'élections générales.
L'ancien président de Pluri Design nie que ce soit l'ancien premier ministre Jean Chrétien qui l'ait informé de l'existence du programme de commandites. C'est Jean Brault qui l'en a informé, selon ce qu'il a déclaré.
M. Corriveau a reconnu par ailleurs être intervenu pour faire embaucher la nièce de Jean Chrétien, Marie-Lyne Chrétien, chez Groupaction.
Jacques Corriveau a perçu plusieurs millions de dollars d'honoraires relativement aux commandites: 6 millions du Groupe Polygone-Expour, 1,1 million du gouvernement fédéral, 497 000 $ de Publicité Dézert d'Éric Lafleur et 430 000 $ de Groupaction. Au cours de son témoignage, il a nié avoir retourné une partie de cet argent au Parti libéral.
L'ancien président de Pluri Design, Jacques Corriveau, soutient qu'il n'a jamais demandé d'argent pour le Parti libéral du Canada.
Poursuivant son témoignage à la commission Gomery, M. Corriveau a répondu par la négative, invariablement, à toutes les questions à ce sujet posées par le procureur en chef de la commission.
Ainsi, contrairement à ce qu'a avancé le président de Groupaction dans son témoignage, il affirme n'avoir jamais demandé à Jean Brault des sommes d'argent pour le Parti libéral, n'avoir jamais demandé à M. Brault de payer des factures du PLC et n'avoir jamais demandé non plus de l'argent non déclaré.
M. Corriveau a fait les mêmes réponses aux mêmes questions concernant ses relations avec l'organisateur libéral Michel Béliveau, qu'il dit connaître depuis longtemps, et l'ancien directeur général du PLC au Québec, Benoit Corbeil. Il soutient que ce dernier ne lui a jamais demandé de demander de l'argent à Jean Brault.
Il a ajouté que ses activités de sollicitation pour le Parti libéral s'étaient limitées à des participations à des événements ponctuels, particulièrement en 1993, 1997 et 2000, années d'élections générales.
L'ancien président de Pluri Design nie que ce soit l'ancien premier ministre Jean Chrétien qui l'ait informé de l'existence du programme de commandites. C'est Jean Brault qui l'en a informé, selon ce qu'il a déclaré.
M. Corriveau a reconnu par ailleurs être intervenu pour faire embaucher la nièce de Jean Chrétien, Marie-Lyne Chrétien, chez Groupaction.
Jacques Corriveau a perçu plusieurs millions de dollars d'honoraires relativement aux commandites: 6 millions du Groupe Polygone-Expour, 1,1 million du gouvernement fédéral, 497 000 $ de Publicité Dézert d'Éric Lafleur et 430 000 $ de Groupaction. Au cours de son témoignage, il a nié avoir retourné une partie de cet argent au Parti libéral.