Celebrating prostitutes in song, litterature and art
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Some more movies
Not necessarily with a heart of gold:
Sharon Stone in Casino
Nancy Allen in Dressed to Kill
Shelley Long in Night Shift
Not necessarily with a heart of gold:
Sharon Stone in Casino
Nancy Allen in Dressed to Kill
Shelley Long in Night Shift
Memories of My Melancholy Whores
by no less a literary icon than, Gabriel Garcia Marquez.
http://www.amazon.com/gp/product/14...9?v=glance&n=283155&n=507846&s=books&v=glance
by no less a literary icon than, Gabriel Garcia Marquez.
http://www.amazon.com/gp/product/14...9?v=glance&n=283155&n=507846&s=books&v=glance
Bon Scott of AC/DC wrote a tune about an experience with a girl he fell for who he did not realize at first was a hooker. 
Heres a few excerpts
...But how was I to know that
she had been there before
She told me she was a Virgin
But I should have known
from the tattoo on her left leg
to the garter on her right
she had the card to many times
and she played it right
and
...She was number 999
on the critical list
and I fell in love
with the dirty little bitch
I guess he wasn't too happy about how it turned out.
Heres a few excerpts
...But how was I to know that
she had been there before
She told me she was a Virgin
But I should have known
from the tattoo on her left leg
to the garter on her right
she had the card to many times
and she played it right
and
...She was number 999
on the critical list
and I fell in love
with the dirty little bitch
I guess he wasn't too happy about how it turned out.
Oui, je me souviens de ce bijou comme tu dis. Une véritable ode aux îles grecques (sans jeu de mots). Ça me rappelle aussi un film qui se passait en Italie durant la guerre, avec Monica Belluci je crois (quelle déesseJacknJill said:
) qui jouait le rôle d'une femme qui se prostituait auprès des occupants allemands. Comment il s'appelait celui-là?joeblow said:Oui, je me souviens de ce bijou comme tu dis. Une véritable ode aux îles grecques (sans jeu de mots). Ça me rappelle aussi un film qui se passait en Italie durant la guerre, avec Monica Belluci je crois (quelle déesse
Malèna. http://us.imdb.com/title/tt0213847/
C'est une putain qu'aime que la braise
This Léo Ferré song talks about three great whores (sorry, I will not be politically correct, this song was writen before political correctness was invented. all my respects to SPs of all sorts), the first a fireous lady working in the Old Port of Marseille, the seccond France's national anthem (called La Marseillaise) and here representing patriotism, and the third, war. One living of sex, the other of souls, and the last of lives... (a grue is a coloquial term for a streetwalker, it actually means crane (the bird or the machinery)) I will not tell you which of the three the author prefers...
La Marseillaise
J'connais une grue sur le Vieux Port
Avec des dents longues comme la faim
Et qui dégrafe tous les marins
Qu'ont l'âme chagrine et le coeur d'or
C'est à Marseille que j'vais la voir
Quand le soleil se fout en tweed
Et que l'mistral joue les caïds
C'est à Marseille qu'elle traîne le soir
Elle a des jupes à embarquer
Tous les chalands qui traînent la nuit
Et des froufrous qui font tant d'bruit
Qu'on les entend au bout du quai
Il suffit d'y mettre un peu d'soi
C'est une putain qu'aime que la braise
Et moi j'l'appelle la Marseillaise
C'est bien le moins que je lui dois
Arrête un peu que j'voie
Si tu fais l'poids
Et si j'en aurai pour mon fric
Arrête un peu que j'voie
Si les étoiles couchent avec toi
Et tu m'diras
Combien j'te dois
J'connais une grue dans mon pays
Avec des dents longues comme le bras
Et qui s'tapait tous les soldats
Qu'avaient la mort dans leur fusil
C'est à Verdun qu'on peut la voir
Quand les souvenirs se foutent en prise
Et que l'vent d'est pose sa valise
Et qu'les médailles font le trottoir
Elle a une voix à embarquer
Tous les traîne-tapins qu'elle rencontre
Et il paraît qu'au bout du compte
Ca en fait un drôle de paquet
Il suffit d'y mettre un peu d'soi
Au fond c'est qu'une chanson française
Mais qu'on l'appelle la Marseillaise
Ca fait bizarre dans ces coins-là
Arrête un peu que j'vois
Si t'as d'la voix
Si j'en aurai pour mes galons
Arrête un peu que j'vois
Et puis qu'j'abreuve tous vos sillons
Et j'vous dirai
Combien ça fait
J'connais une grue qu'a pas d'principes
Les dents longues comme un jour sans pain
Qui dégrafait tous les gamins
Fumant leur vie dans leur casse-pipe
C'est dans les champs qu'elle traîne son cul
Où y'a des croix comme des oiseaux
Des croix blanches plantées pour la peau
La peau des autres bien entendu
Celle-là on peut jamais la voir
A moins d'y voir les yeux fermés
Et l'périscope dans les trous d'nez
Bien allongé sous le boulevard
Suffit d'leur filer quatre bouts d'bois
Et d'faire leur lit dans un peu d'glaise
Et d'leur chanter la Marseillaise
Et d'leur faire une belle jambe de bois
Arrête un peu tes cuivres
Et tes tambours
Et ramène-moi l'accordéon
Arrête un peu tes cuivres
Que je puisse finir ma chanson
Le temps que j'baise
Ma Marseillaise
This Léo Ferré song talks about three great whores (sorry, I will not be politically correct, this song was writen before political correctness was invented. all my respects to SPs of all sorts), the first a fireous lady working in the Old Port of Marseille, the seccond France's national anthem (called La Marseillaise) and here representing patriotism, and the third, war. One living of sex, the other of souls, and the last of lives... (a grue is a coloquial term for a streetwalker, it actually means crane (the bird or the machinery)) I will not tell you which of the three the author prefers...
La Marseillaise
J'connais une grue sur le Vieux Port
Avec des dents longues comme la faim
Et qui dégrafe tous les marins
Qu'ont l'âme chagrine et le coeur d'or
C'est à Marseille que j'vais la voir
Quand le soleil se fout en tweed
Et que l'mistral joue les caïds
C'est à Marseille qu'elle traîne le soir
Elle a des jupes à embarquer
Tous les chalands qui traînent la nuit
Et des froufrous qui font tant d'bruit
Qu'on les entend au bout du quai
Il suffit d'y mettre un peu d'soi
C'est une putain qu'aime que la braise
Et moi j'l'appelle la Marseillaise
C'est bien le moins que je lui dois
Arrête un peu que j'voie
Si tu fais l'poids
Et si j'en aurai pour mon fric
Arrête un peu que j'voie
Si les étoiles couchent avec toi
Et tu m'diras
Combien j'te dois
J'connais une grue dans mon pays
Avec des dents longues comme le bras
Et qui s'tapait tous les soldats
Qu'avaient la mort dans leur fusil
C'est à Verdun qu'on peut la voir
Quand les souvenirs se foutent en prise
Et que l'vent d'est pose sa valise
Et qu'les médailles font le trottoir
Elle a une voix à embarquer
Tous les traîne-tapins qu'elle rencontre
Et il paraît qu'au bout du compte
Ca en fait un drôle de paquet
Il suffit d'y mettre un peu d'soi
Au fond c'est qu'une chanson française
Mais qu'on l'appelle la Marseillaise
Ca fait bizarre dans ces coins-là
Arrête un peu que j'vois
Si t'as d'la voix
Si j'en aurai pour mes galons
Arrête un peu que j'vois
Et puis qu'j'abreuve tous vos sillons
Et j'vous dirai
Combien ça fait
J'connais une grue qu'a pas d'principes
Les dents longues comme un jour sans pain
Qui dégrafait tous les gamins
Fumant leur vie dans leur casse-pipe
C'est dans les champs qu'elle traîne son cul
Où y'a des croix comme des oiseaux
Des croix blanches plantées pour la peau
La peau des autres bien entendu
Celle-là on peut jamais la voir
A moins d'y voir les yeux fermés
Et l'périscope dans les trous d'nez
Bien allongé sous le boulevard
Suffit d'leur filer quatre bouts d'bois
Et d'faire leur lit dans un peu d'glaise
Et d'leur chanter la Marseillaise
Et d'leur faire une belle jambe de bois
Arrête un peu tes cuivres
Et tes tambours
Et ramène-moi l'accordéon
Arrête un peu tes cuivres
Que je puisse finir ma chanson
Le temps que j'baise
Ma Marseillaise
Autre copains de Ferré..
Voici un vieux copains de Léo Ferré, de Moustaki et de Georges Brassens... Jacques Brel...L'illustre et non le moindre chantre de la chanson française, cet homme fût et demeure encore l'icône d'une génération des constataires des années '60 et des générations suivantes...
Amsterdam, (1964)
Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui chantent
Les rêves qui les hantent
Au large d'Amsterdam
Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui dorment
Comme des oriflammes
Le long des berges mornes
Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui meurent
Pleins de bière et de drames
Aux premières lueurs
Mais dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui naissent
Dans la chaleur épaisse
Des langueurs océanes
Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui mangent
Sur des nappes trop blanches
Des poissons ruisselants
Ils vous montrent des dents
A croquer la fortune
A décroisser la lune
A bouffer des haubans
Et ça sent la morue
Jusque dans le cœur des frites
Que leurs grosses mains invitent
A revenir en plus
Puis se lèvent en riant
Dans un bruit de tempête
Referment leur braguette
Et sortent en rotant
Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui dansent
En se frottant la panse
Sur la panse des femmes
Et ils tournent et ils dansent
Comme des soleils crachés
Dans le son déchiré
D'un accordéon rance
Ils se tordent le cou
Pour mieux s'entendre rire
Jusqu'à ce que tout à coup
L'accordéon expire
Alors le geste grave
Alors le regard fier
Ils ramènent leur batave
Jusqu'en pleine lumière
Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui boivent
Et qui boivent et reboivent
Et qui reboivent encore
Ils boivent à la santé
Des putains d'Amsterdam
De Hambourg ou d'ailleurs
Enfin ils boivent aux dames
Qui leur donnent leur joli corps
Qui leur donnent leur vertu
Pour une pièce en or
Et quand ils ont bien bu
Se plantent le nez au ciel
Se mouchent dans les étoiles
Et ils pissent comme je pleure
Sur les femmes infidèles
Dans le port d'Amsterdam
Dans le port d'Amsterdam
-------
Il y a aussi un film, avec Catherine Deneuve, Belle de Jour. L'un des premiers film à tendances pornographiques des années '60 ou '70 qui a fait une véritable polémique à l'époque. Ce film relate l'histoire d'une femme mariée, au prise avec le désir de vivre ses propres fantasmes...Nous sommes à la mi-temps de l'activisme politique féministe (du moins en France..) Elle pose un autre regard sur les hommes. Un bijou, ce film...
Voici un vieux copains de Léo Ferré, de Moustaki et de Georges Brassens... Jacques Brel...L'illustre et non le moindre chantre de la chanson française, cet homme fût et demeure encore l'icône d'une génération des constataires des années '60 et des générations suivantes...
Amsterdam, (1964)
Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui chantent
Les rêves qui les hantent
Au large d'Amsterdam
Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui dorment
Comme des oriflammes
Le long des berges mornes
Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui meurent
Pleins de bière et de drames
Aux premières lueurs
Mais dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui naissent
Dans la chaleur épaisse
Des langueurs océanes
Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui mangent
Sur des nappes trop blanches
Des poissons ruisselants
Ils vous montrent des dents
A croquer la fortune
A décroisser la lune
A bouffer des haubans
Et ça sent la morue
Jusque dans le cœur des frites
Que leurs grosses mains invitent
A revenir en plus
Puis se lèvent en riant
Dans un bruit de tempête
Referment leur braguette
Et sortent en rotant
Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui dansent
En se frottant la panse
Sur la panse des femmes
Et ils tournent et ils dansent
Comme des soleils crachés
Dans le son déchiré
D'un accordéon rance
Ils se tordent le cou
Pour mieux s'entendre rire
Jusqu'à ce que tout à coup
L'accordéon expire
Alors le geste grave
Alors le regard fier
Ils ramènent leur batave
Jusqu'en pleine lumière
Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui boivent
Et qui boivent et reboivent
Et qui reboivent encore
Ils boivent à la santé
Des putains d'Amsterdam
De Hambourg ou d'ailleurs
Enfin ils boivent aux dames
Qui leur donnent leur joli corps
Qui leur donnent leur vertu
Pour une pièce en or
Et quand ils ont bien bu
Se plantent le nez au ciel
Se mouchent dans les étoiles
Et ils pissent comme je pleure
Sur les femmes infidèles
Dans le port d'Amsterdam
Dans le port d'Amsterdam
-------
Il y a aussi un film, avec Catherine Deneuve, Belle de Jour. L'un des premiers film à tendances pornographiques des années '60 ou '70 qui a fait une véritable polémique à l'époque. Ce film relate l'histoire d'une femme mariée, au prise avec le désir de vivre ses propres fantasmes...Nous sommes à la mi-temps de l'activisme politique féministe (du moins en France..) Elle pose un autre regard sur les hommes. Un bijou, ce film...
Henry Miller - Quiet Days in Clichy
I can think of no better book to read than Henry Miller's "Quiet Days in Clichy" (see below). He also wrote an excellent chapter on an SP he befriended in Paris, Mademoiselle Claude, in his other book "Wisdom the the Heart".
Quiet Days in Clichy
This tender and nostalgic work dates from the same period as Tropic of Cancer (1934). It is a celebration of love, art, and the Bohemian life at a time when the world was simpler and slower, and Miller an obscure, penniless young writer in Paris. Whether discussing the early days of his long friendship with Alfred Perles or his escapades at the Club Melody brothel, in Quiet Days in Clichy Miller describes a period that would shape his entire life and oeuvre.
"There is nothing like Henry Miller when he gets rolling.... One has to take the English language back to Marlowe and Shakespeare before encountering a wealth of imagery equal in intensity.... Nobody has ever written in just this way before, nobody may ever write in this style so well again. A time and a place have come to focus in a writer's voice.... [Miller is] a wildwater of prose, a cataract, a volcano, a torrent, an earthquake...a writer finally like a great athlete, a phenomenon of an avatar of literary energy."--Norman Mailer
"That Henry Miller is a great artist, a great American artist, and perhaps the last one we can be proud of--that he is one of the last of our literary giants who rose up during that marvelous period from 1890 to the 1940s--there is no doubt in my mind."--Maxwell Geismar
"The only imaginative prose writer of the slightest value who has appeared among the English-speaking races for some years past."--George Orwell
"American literature today begins and ends with the meaning of what Miller has done."--Lawrence Durrell
Henry Miller was born in December 1891 in New York City. He spent most of his life in Brooklyn, Paris, and Big Sur, California, where he died in June 1980. Widely acknowledged as one of the most influential writers in American literature, he gained fame with Tropic of Cancer, which was banned in the United States until 1961. His other works include Tropic of Capricorn, Black Spring, Under the Roofs of Paris, the Rosy Crucifixion trilogy (Sexus, Plexus, and Nexus), and Crazy Cock.
I can think of no better book to read than Henry Miller's "Quiet Days in Clichy" (see below). He also wrote an excellent chapter on an SP he befriended in Paris, Mademoiselle Claude, in his other book "Wisdom the the Heart".
Quiet Days in Clichy
This tender and nostalgic work dates from the same period as Tropic of Cancer (1934). It is a celebration of love, art, and the Bohemian life at a time when the world was simpler and slower, and Miller an obscure, penniless young writer in Paris. Whether discussing the early days of his long friendship with Alfred Perles or his escapades at the Club Melody brothel, in Quiet Days in Clichy Miller describes a period that would shape his entire life and oeuvre.
"There is nothing like Henry Miller when he gets rolling.... One has to take the English language back to Marlowe and Shakespeare before encountering a wealth of imagery equal in intensity.... Nobody has ever written in just this way before, nobody may ever write in this style so well again. A time and a place have come to focus in a writer's voice.... [Miller is] a wildwater of prose, a cataract, a volcano, a torrent, an earthquake...a writer finally like a great athlete, a phenomenon of an avatar of literary energy."--Norman Mailer
"That Henry Miller is a great artist, a great American artist, and perhaps the last one we can be proud of--that he is one of the last of our literary giants who rose up during that marvelous period from 1890 to the 1940s--there is no doubt in my mind."--Maxwell Geismar
"The only imaginative prose writer of the slightest value who has appeared among the English-speaking races for some years past."--George Orwell
"American literature today begins and ends with the meaning of what Miller has done."--Lawrence Durrell
Henry Miller was born in December 1891 in New York City. He spent most of his life in Brooklyn, Paris, and Big Sur, California, where he died in June 1980. Widely acknowledged as one of the most influential writers in American literature, he gained fame with Tropic of Cancer, which was banned in the United States until 1961. His other works include Tropic of Capricorn, Black Spring, Under the Roofs of Paris, the Rosy Crucifixion trilogy (Sexus, Plexus, and Nexus), and Crazy Cock.
Last edited:
Some of my favorites
Movie
Half Moon Street (1986) Starring Sigourney Weaver
Book
Memories of My Melancholy Whores by Gabriel Garcia Marquez
Song
Darling Nikki -Prince
xoxox
Anik
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Half Moon Street (1986) Starring Sigourney Weaver
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Song
Darling Nikki -Prince
xoxox
Anik
Leonard Cohen
One of Montreal's favourite sons wrote "Sisters of Mercy".
Some of the words:
All the sisters of mercy
They have not departed or gone
They were waiting for me
When I thought that I just can't go on
Then they brought me their comfort
And later they brought e their song
Oh I hope you run into them
You who've been travelling so long
.......
They lay down beside me
I made my confession to them
.....
Don't turn on the lights
You can read their address by the moon
.....
And it won't make me jealous if I learn that they sweetened your night
We weren't lovers like that
And besides, it would still be your right.
Judy Collins does a marvelous version of it
One of Montreal's favourite sons wrote "Sisters of Mercy".
Some of the words:
All the sisters of mercy
They have not departed or gone
They were waiting for me
When I thought that I just can't go on
Then they brought me their comfort
And later they brought e their song
Oh I hope you run into them
You who've been travelling so long
.......
They lay down beside me
I made my confession to them
.....
Don't turn on the lights
You can read their address by the moon
.....
And it won't make me jealous if I learn that they sweetened your night
We weren't lovers like that
And besides, it would still be your right.
Judy Collins does a marvelous version of it
Callgirl
The book Callgirl, by Jeannette Angell. I picked it up a couple of weeks ago and have read only a couple of chapters. By a woman who claims to have worked as an escort while teaching university courses while in Boston a few years back, describing her experiences. Seems to provide some interesting insights.
I would be interested in hearing from our SP friends: Do you feel that it gives a view that is close to home for you?
The book Callgirl, by Jeannette Angell. I picked it up a couple of weeks ago and have read only a couple of chapters. By a woman who claims to have worked as an escort while teaching university courses while in Boston a few years back, describing her experiences. Seems to provide some interesting insights.
I would be interested in hearing from our SP friends: Do you feel that it gives a view that is close to home for you?
patricia the stripper
Patricia The Stripper
Patricia The Stripper
From Spanish Train and Other Stories
by Chris de Burgh
Year Released: 1975
Playing Time: 3:30
Dennis is a menace
With his "Anyone for tennis?"
And he'd beseech me to come keep the score.
And Maude said, "Oh Lord, I'm so terribly bored"
I really can't stand it anymore...
I'm going...out to dinner,
With a gorgeous singer,
To a little place I know,
Down by the quay.
Her name is Patricia,
She calls herself Delicia
And the reason isn't
Very hard to see.
She said, God made her a sinner
Just to keep those fat men thinner
As they tumble down in heaps
Before her feet.
They hang around in groups
Like battle weary troops,
One can often see the
Queue right down the street.
Because Patricia
Or Delicia
Not only is a singer
She also removes all her clothing
For Patricia,
Is the best stripper in town...
And with a swing of her hips,
She started to strip
To tremendous applause
She took of her drawers
And with a lick of her lips
She undid all her clips,
Threw it all in the air
And everyone stared
And as the last piece of clothing
Fell to the floor,
The police were banging on the door
On a Saturday night,
In 1924
Take it away boys...
Well, Patricia was arrested
And everyone detested,
The terrible manner in which
she was exposed
Later on in court
where everyone thought
A summer's run in jail
would be proposed..
But the judge said, "Patricia,
Or may I say Delicia,
The facts of this case lie before me (knock, knock, knock)
Case dismissed... This girl was in her working clothes...
And with a swing of her hips,
She started to strip
To tremendous applause
She took off her drawers
And with a lick of her lips
She undid all her clips,
Threw it all in the air
And everyone stared
And as the last piece of clothing
Fell to the floor,
The police were yelling out for more (more)
On a Saturday night
In 1924.
Patricia The Stripper
Patricia The Stripper
From Spanish Train and Other Stories
by Chris de Burgh
Year Released: 1975
Playing Time: 3:30
Dennis is a menace
With his "Anyone for tennis?"
And he'd beseech me to come keep the score.
And Maude said, "Oh Lord, I'm so terribly bored"
I really can't stand it anymore...
I'm going...out to dinner,
With a gorgeous singer,
To a little place I know,
Down by the quay.
Her name is Patricia,
She calls herself Delicia
And the reason isn't
Very hard to see.
She said, God made her a sinner
Just to keep those fat men thinner
As they tumble down in heaps
Before her feet.
They hang around in groups
Like battle weary troops,
One can often see the
Queue right down the street.
Because Patricia
Or Delicia
Not only is a singer
She also removes all her clothing
For Patricia,
Is the best stripper in town...
And with a swing of her hips,
She started to strip
To tremendous applause
She took of her drawers
And with a lick of her lips
She undid all her clips,
Threw it all in the air
And everyone stared
And as the last piece of clothing
Fell to the floor,
The police were banging on the door
On a Saturday night,
In 1924
Take it away boys...
Well, Patricia was arrested
And everyone detested,
The terrible manner in which
she was exposed
Later on in court
where everyone thought
A summer's run in jail
would be proposed..
But the judge said, "Patricia,
Or may I say Delicia,
The facts of this case lie before me (knock, knock, knock)
Case dismissed... This girl was in her working clothes...
And with a swing of her hips,
She started to strip
To tremendous applause
She took off her drawers
And with a lick of her lips
She undid all her clips,
Threw it all in the air
And everyone stared
And as the last piece of clothing
Fell to the floor,
The police were yelling out for more (more)
On a Saturday night
In 1924.
NOFX - Lori Meyers
NOFX - Lori Meyers
Audio on Youtube
Lori Meyers used to live upstairs
Our parents had been friends for years
Almost every afternoon we'd play forbidden games
At nine years old there's no such thing as shame
It wasn't recognition of her face
What brough me back
Was a familiar mark
As it flashed across the screen
I bought some magazines
Some video tape scenes
Incriminating act, I felt that I could save her
Who are you to tell me how to live?
You think I sell my body?
I merely sell my time
I ain't no Cinderella
I ain't waitin' for no Prince
To save me
In fact until just now I was doin' just fine
And on and on
I know what degregation feels like
I felt it on the floor at the factory
Where I worked long before I took control
Now I answer to me
The 50k I make this year will go anywhere I please
Where's the problem?
NOFX - Lori Meyers
Audio on Youtube
Lori Meyers used to live upstairs
Our parents had been friends for years
Almost every afternoon we'd play forbidden games
At nine years old there's no such thing as shame
It wasn't recognition of her face
What brough me back
Was a familiar mark
As it flashed across the screen
I bought some magazines
Some video tape scenes
Incriminating act, I felt that I could save her
Who are you to tell me how to live?
You think I sell my body?
I merely sell my time
I ain't no Cinderella
I ain't waitin' for no Prince
To save me
In fact until just now I was doin' just fine
And on and on
I know what degregation feels like
I felt it on the floor at the factory
Where I worked long before I took control
Now I answer to me
The 50k I make this year will go anywhere I please
Where's the problem?
L
Lily-Rose
Les quatre visages de Nelly Arcan
Loin du film biographique classique (« biopic »), à la limite entre fantasme et vérité, Nelly exposera les côtés sombres, excessifs de l'auteure de Folle. Mais aussi ses moments de succès, de joie et d'exaltation. Et bien sûr, il y aura des scènes très érotiques, corsées, pour relater le passé d'escorte d'Isabelle Fortier.
http://www.lapresse.ca/cinema/cinem...4878107-les-quatre-visages-de-nelly-arcan.php
Loin du film biographique classique (« biopic »), à la limite entre fantasme et vérité, Nelly exposera les côtés sombres, excessifs de l'auteure de Folle. Mais aussi ses moments de succès, de joie et d'exaltation. Et bien sûr, il y aura des scènes très érotiques, corsées, pour relater le passé d'escorte d'Isabelle Fortier.
http://www.lapresse.ca/cinema/cinem...4878107-les-quatre-visages-de-nelly-arcan.php
elle ne se voyais pas vieillir c'est pour cela qu'elle fessait des duos avec des filles plus vielles qu'elle...
j'ai lue putain , je m'en souvient encore
un talent brut , dommage
un peut comme dédé fortin
parti pour de fausse raison
L
Lily-Rose
Tout cela est fort complexe. On verra bien si l'auteure du film saura percer le mystère ;-)
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