Extrait en fait le début :
« Je ne dirais pas que c’est un week-end absolument mort, mais c’est comparable à un mois de janvier », dit-elle.
Laurie a décidé de nous parler à visage découvert pour faire changer l’image de ce métier dont elle est fière, même si l’achat de services sexuels est illégal au Canada depuis 2014.
Selon elle, un mythe entoure le Grand Prix, ce qui expliquerait que des travailleuses du sexe de tout le Canada viennent à Montréal, croyant faire de l’argent.
Pas étonné pour ma part !
Tellement à l'inverse de la bullshit des merdias et aussi pour les associations abolitionnistes, probablement leur période de visibilité maximale pour chercher / confirmer leurs financements.