kinbaku 緊縛 mot japonais signifie littéralement « attache serrée » ou « lien contraignant ».
Le Kinbaku puise ses racines dans le Hōjōjutsu, un art martial ancien utilisé par les samouraïs pour capturer, immobiliser ou punir des prisonniers à l’époque féodale. Ce ligotage (dont les nœuds) devait permettre de lire son rang social et le crime qu’il avait commis. L’âge, le sexe et la profession de la victime étaient aussi déterminants pour les techniques de ligotage utilisées.
Au XXe siècle, l’artiste Itō Seiyū transforme cet héritage martial en art visuel et les utilise dans ses peintures et mises en scène. C’est lui qui jette les bases du Kinbaku moderne, en le reliant à l’érotisme, à l’émotion et à la théâtralité.
Le Kinbaku puise ses racines dans le Hōjōjutsu, un art martial ancien utilisé par les samouraïs pour capturer, immobiliser ou punir des prisonniers à l’époque féodale. Ce ligotage (dont les nœuds) devait permettre de lire son rang social et le crime qu’il avait commis. L’âge, le sexe et la profession de la victime étaient aussi déterminants pour les techniques de ligotage utilisées.
Au XXe siècle, l’artiste Itō Seiyū transforme cet héritage martial en art visuel et les utilise dans ses peintures et mises en scène. C’est lui qui jette les bases du Kinbaku moderne, en le reliant à l’érotisme, à l’émotion et à la théâtralité.