On a fait grand bruit et grand tam-tam sur les abus des enfants autochtones dans les pensionnats supervisés par l’église catholiques. On a invité tout le monde, même le pape, à se mettre dans un mode d’excuse de pèlerinage de pénitence. On a décrié les abuseurs du XX siècle. On oublie que la même erreur se produit, de nos jours, sous nos yeux, avec la Direction de la Protection de la Jeunesse (DPJ) au Québec.
La DPJ enlève des enfants de leurs familles souvent pour des raisons non fondées, pour des peccadilles. Elle les places dans des familles d’accueil qui n’ont ni la formation, ni les connaissances ni les habiletés nécessaires à résoudre les problèmes associées avec la détresse psychologique dû à une séparation soudaine des enfants de leurs milieux familiaux. La DPJ semble ignorer tout de cette problématique et semble voir dans la mise en foyer d’accueil comme l’unique solution à un problème parental ou ce qui semble être un problème parental. A l’époque des pensionnats autochtones, l’église catholique profitais financièrement des séparations des enfants de leurs parents. Aujourd’hui ce sont les foyers d’accueil qui profitent des séparations des enfants de leur milieu familial. De connivence avec ces foyers d’accueil, la DPJ est à l’affût de toute excuses pouvant motiver ce marché d’enfants. Et tout comme pour les pensionnats autochtones, la DPJ crée des détresses psychologiques qui dureront des générations.
Les travailleurs du sexe et leurs enfants sont souvent victimes de ce traffic organisé par la DPJ. Est-ce qu’ être travailleuse ou travailleur du sexe est nécessairement et obligatoirement associé à une mauvaise éducation de ses enfants ? Pas nécessairement. Et je pense que la DPJ ne emble pas intéressé pour des motifs financiers à examiner des alternatives à la séparation des enfants de leurs milieux familiaux. Tout comme on a étiqueté tous les autochtones de " bons à rien " on étiquettes maintenant toutes les travailleuses du sexe comme de "parents non responsables .
Par ailleurs, la DPJ n’a pas su identifier et n’est pas intervenu dans des cas graves d’abus infantiles qui ont mené à de la torture et des infanticides. On peut donc se poser de sérieuses interrogations sur le degré de compétence et le manque flagrant de discernement des intervenants de la DPJ. Dans ce contexte, quel est le pourquoi de l’acharnement des intervenants de la DPJ auprès des travailleuses du sexe. Ces intervenants ont ils les compétences pour juger au cas par cas de l’effet de ce type de travail sur l’éducation des enfants ? Au XX siècle on traitait les autochtones comme des « bons à rien . et des incapables à élever leurs enfants à cause de leurs origines. Est-ce que la DPJ de nos jours n’est pas en train d’imposer les mêmes sévices aux travailleuses du sexe et leurs enfants. ?Est-ce que les intervenants de la DPJ sont capable de discerner la morale de l’éducation des enfants.
En conclusion, présentement, la DPJ est l’initiateur d’un trafic scandaleux d’enfants, trafic qui profitent financièrement aux foyers d’accueils. Et ce trafic est un rappel douloureux de celui qui se passait dans le pensionnats autochtones au Québec et au Canada.
La DPJ enlève des enfants de leurs familles souvent pour des raisons non fondées, pour des peccadilles. Elle les places dans des familles d’accueil qui n’ont ni la formation, ni les connaissances ni les habiletés nécessaires à résoudre les problèmes associées avec la détresse psychologique dû à une séparation soudaine des enfants de leurs milieux familiaux. La DPJ semble ignorer tout de cette problématique et semble voir dans la mise en foyer d’accueil comme l’unique solution à un problème parental ou ce qui semble être un problème parental. A l’époque des pensionnats autochtones, l’église catholique profitais financièrement des séparations des enfants de leurs parents. Aujourd’hui ce sont les foyers d’accueil qui profitent des séparations des enfants de leur milieu familial. De connivence avec ces foyers d’accueil, la DPJ est à l’affût de toute excuses pouvant motiver ce marché d’enfants. Et tout comme pour les pensionnats autochtones, la DPJ crée des détresses psychologiques qui dureront des générations.
Les travailleurs du sexe et leurs enfants sont souvent victimes de ce traffic organisé par la DPJ. Est-ce qu’ être travailleuse ou travailleur du sexe est nécessairement et obligatoirement associé à une mauvaise éducation de ses enfants ? Pas nécessairement. Et je pense que la DPJ ne emble pas intéressé pour des motifs financiers à examiner des alternatives à la séparation des enfants de leurs milieux familiaux. Tout comme on a étiqueté tous les autochtones de " bons à rien " on étiquettes maintenant toutes les travailleuses du sexe comme de "parents non responsables .
Par ailleurs, la DPJ n’a pas su identifier et n’est pas intervenu dans des cas graves d’abus infantiles qui ont mené à de la torture et des infanticides. On peut donc se poser de sérieuses interrogations sur le degré de compétence et le manque flagrant de discernement des intervenants de la DPJ. Dans ce contexte, quel est le pourquoi de l’acharnement des intervenants de la DPJ auprès des travailleuses du sexe. Ces intervenants ont ils les compétences pour juger au cas par cas de l’effet de ce type de travail sur l’éducation des enfants ? Au XX siècle on traitait les autochtones comme des « bons à rien . et des incapables à élever leurs enfants à cause de leurs origines. Est-ce que la DPJ de nos jours n’est pas en train d’imposer les mêmes sévices aux travailleuses du sexe et leurs enfants. ?Est-ce que les intervenants de la DPJ sont capable de discerner la morale de l’éducation des enfants.
En conclusion, présentement, la DPJ est l’initiateur d’un trafic scandaleux d’enfants, trafic qui profitent financièrement aux foyers d’accueils. Et ce trafic est un rappel douloureux de celui qui se passait dans le pensionnats autochtones au Québec et au Canada.