Pour l'instant j'ai tendence à être plate... Mes orgasmes, je ne les racontes pas, je les vis... Pour ceux qui me connaissent et qu'ils on réussit save que je devient légumes après... trop même j'ai de la difficulté à travailler après. Comme je le dis souvent: «Ce n'est pas moi qui est en manque...»
Mais bon, je pourrais vous racontez une passe avec mon meilleur amant à vie. Moi aussi ça va me prendre du temps à composer... Je crois que je ne suis pas capable de le raconter sans l'image de cet homme. Je crois que je suis plus à l'aise avec cette forme d'histoire... car (mon) orgasme n'a jamais connu autant de puissance sans cet homme et l'amour y est pour quelque chose.
C'étais mon copain, il me connaissait à la perfection, pas très difficile, je suis un livre ouvert de toute façon, bien sûr avec nos fréqueces et la passion que j'avais pour lui, c'étais facile de m'épanouir. Ce n'était pas tant l'orgasme qui m'importais c'était le temps au lit passé avec lui, le désir sexeuelle... ou du temps avec lui tout court. Ça pouvais duré et recommencé que j'étais bien dans ses bras, même s'endormir l'un dans l'autre ça nous arrivais. Son touché d'artiste avait même réusit à me faire perdre la notion de l'espace... le lit, la chambre, même lui n'existais plus, je ne me sentais même pas toucher au lit, il avait le dont de me transporter.
Il avait compris, et aussi il m'avait apris. Apris ce que je ne savais pas, parce que je n'avais pas explorer ou parce qu'il me manquait le complice idéal. Celui qui sait quand continuer et qui sait quand s'arrêter, celui qui sait explorer les moindre petit recoin auquel on aurait pas penser, ceux qui ne font pas partie du répertoire classique. Mais encore là c'est son savoir faire, sa façon de me toucher. Un maître!
Je suis couchée sur le dos, les jambes repliés, lui à genoux en face de moi et sous mes cuisses, il me carresse, m'éffleure et me lèche le ventre, ma peau est douce et la sienne tout autant. Mon cou, l'intérieur de mes cuisses, ses mains glisse derrière mon dos, ou s'agrippe derrière mes molets, et son regards, sa respiration je vois bien qu'il en perd la tête lui aussi. Je ne suis plus capable de parler, je n'ais pas à le diriger il sait. J'en ai pas la force de toute façon, le plaisir est déjà là et je n'ai de force que pour faire des sons... pour lui indiqué que j'aime ça et de continuer ou c'est le plus bon. Il joue avec moi. Il me garde le plus longtemps sur le bord... me lèche entre les jambes, mon sexe, parfois quand il me donne un moment de répis, je me touche et sens mes lèvres gonflés, chaude et gorgé de désir. Tout ce que j'arrive a lui dire, c'est - Prend moi!
À ce moment je suis déjà à lui, il peu faire partiquement ce qu'il veut de moi, je lui appartien. Après ça j'en perd la notion... j'ai de la difficulté à mettre des mots sur ce que je rescends. La chaleur m'enivre, me transporte et me soual... ça y est je suis gelée, ne me touchez plus, tout devient trop sensible, c'est comme si tout mon corps venait de débander, mes seins et mon sexe me donne des choques électrique. N'y touchez plus... J'ai l'air d'avoir fumer un joint... Trop vedge pour continuer...
Zen... Maudite drogue.