Merci Stéphanie.
J'ai ressorti ce texte d'une entrevue de Mme Sandra Wesley (directrice de l'organisme Stella) publiée dans le Journal de Montréal.
Si elle assure que la majorité des travailleuses du sexe ne pratiquent plus durant la crise, en raison de l’avis de santé publique qui a entraîné la fermeture des salons de massage et des bars de danseuses, Sandra Wesley ne peut toutefois affirmer qu’elles respectent toutes la règle de distanciation sociale à la lettre.
Moi: "Je suis complétement découragé du comportement de certaines québéçoises. J'ai regardé hier sur Annonceintime dans la région de Montréal, dont les annonces avaient la mention "moins d'une minute" il y avait à peu près 75 annonces, et dans la région de Québec une trentaine d'annonces.
Alors Stella il faudrait que tu sortes ta tête du sable"
Par contre elle mentionne que: "Alors que des travailleuses du sexe tentent de travailler en ligne, d’autres vont jusqu’à proposer des services pour plus tard. «Il y en a même qui appellent leurs clients réguliers et qui essaient d’avoir un paiement anticipé peut-être pour un service qu’elles vont leur donner plus tard après la pandémie», a précisé la directrice générale de Stella, un organisme qui est formé de travailleuses du sexe"