mon fantasme avec maude
J’étais à ce colloque depuis déjà deux jours. Plusieurs ateliers avaient piqués ma curiosité et mon intérêt. Nous étions plus de deux cent spécialistes des ressources humaines réunis à ce colloque dans cette ville si diversifiée qu’est Montréal.
Au troisième jour lors de l’atelier portant sur la mobilisation des ressources humaines je me surpris à remarquer une participante qui était assise quelques tables plus loin de moi. Celle-ci dégageait un magnétisme hors du commun. Elle portait une blouse blanche ainsi qu’une jupe étroite noire et de magnifiques talons aiguilles noires. Sa jupe s’arrêtait juste au dessus du genou et laissait entrevoir un mollet ferme et bien défini.
Malgré le contenu des plus pertinents de l’atelier je n’arrivais pas à détourner mon regard et mon attention d’elle. Elle était si féminine et dégageait une sensualité difficile à imager. Soudain son regard se tourne vers moi. Un bref instant nos regards se croisent et rapidement, assailli par la gêne, je détournai mon regard en espérant qu’elle ne ressenti pas ma gêne.
Quelques instants plus tard je ne pu résister à jeter à nouveau un œil vers elle. Je regardais son mollet, puis sa taille, enfin je remontai plus haut et l’espace entre les boutons de sa blouse me permis de voir qu’elle portait un soutien-gorge de dentelle blanc. J’imaginais facilement la rondeur de ses seins lorsque je m’aperçu qu’elle me regardait. Je baissai rapidement les yeux, En les relevant je vis qu’elle me sourit puis elle porta son regard vers le conférencier.
Je me demandais depuis combien de temps elle avait remarqué que je la regardais. Avait-elle remarqué que je la déshabillais des yeux?
Plus le temps passait et moins j’entendais le conférencier. J’étais obnubilé par sa beauté et je me surpris à fantasmer sur elle. J’imaginais ses mamelons qui se dressaient alors que je les mordillais, elle relevait sa jupe afin de me permettre de glisser mes doigts dans cette chatte toute humide qui se gonflais au gré des mouvements de mes doigts.
Soudain je fûs vite remmené à la réalité lorsque les gens autour de moi se levèrent. La conférence était terminée. Combien de temps avais-je été dans cet état d’esprit? Je ne savais trop. En même temps j’étais gêné de me lever de ma chaise car je sentais bien que j’avais une érection difficile à dissimuler dans ce pantalon.
C’était déjà la fin de la journée et l’heure du cocktail. Toutes les personnes présentes au colloque s’agglutinaient au bar du lobby pour se voir offrir une consommation. Pour ma part, je restais un peu à l’écart en attendant que l’affluence diminue et en même temps j’étais dans mes pensées. Je me demandais si j’allais à nouveau croiser cette belle inconnue.
Quand le bar fût accessible je m’avançai pour commandai mon drink. En commandant j’accrocha la personne à mes côtés. Je me retournai pour m’excuser et je vis que c’était elle. J’eu beau vouloir m’excuser, aucun son ne sortait de ma bouche. Elle me regarda et me sourit. Je lui sourit puis elle s’éloigna.
En jasant avec un collègue je la vit, elle était seule dans un sofa au milieu du lobby. je me dirigea vers elle. Arrivé à sa hauteur, elle leva les yeux et me sourit à nouveau.
Moi : Bonsoir, ça va bien?
Elle : oui
Moi : je m’excuse tout à l’heure au bar je vous ai accroché et je n’ai pas à eu la chance de m’excuser
Elle : C’est correct, C’était un simple incident sans conséquence.
Elle à nouveau : vous étiez dans mon groupe cet après-midi pour l’atelier sur la mobilisation.
Moi : oui
Elle : je sais je vous ai remarqué
Moi (dans ma tête) : a-t-elle dit remarqué???
Moi : je vous ai vu également (dans ma tête : vu?? C’est assez simple tu aurais pu lui dire que toi aussi tu l’avais remarqué merde)
Elle : C’était très intéressant comme conférence
Moi : tout à fait
Elle : Je ne voudrais pas être déplacé mais avez-vous quelque chose de prévu pour le souper
Moi : avant de répondre à cette question serait-ce possible qu’on arrêtes de se dire vous. On pourrait se tutoyer.
Elle : tu as raison. Alors as-tu quelque chose de prévu pour souper?
Moi : non
Elle : alors on pourrait aller souper ensemble. Je connais peu Montréal. Ça me rassurait de souper accompagné.
Moi : Ça me va, à quelle heure
Elle : disons 19 h.
MOI : 19 h c’est parfait
Elle : donne moi le numéro de ta chambre et j’irai te chercher pour éviter que tu m’attendes trop longtemps dans le hall.
Moi : C’est le 4203
Elle : parfait. 19 h00 je vais te rejoindre.
Puis elle monta à sa chambre en me jetant un dernier sourire avant que les portes de l’ascenseur ne se referment et me dit : « en passant, moi c’est Maude! »
Maude! Quel prénom exotique me disais-je en sortant de la douche. Ça sonne luxe, classe et raffinement.
La serviette nouée autour de la taille je me dirige vers le petit réfrigérateur de la chambre pour sortir la bouteille de Shiraz que j’avais mise un peu plus tôt au frais. Je me verse un verre en pensant à ce que nous pourrions bien nous dire ce soir au souper. En même temps, le colloque était jusqu’à présent plein de sujets qui meubleraient facilement une soirée de conversations et échanges.
Je me demandais bien ce que j’étais pour porter ce soir. Je ne la connaissais pas et je ne savais pas quel style lui plairait le plus. J’opte donc pour un compromis, un beau jeans mavi et une chemise noire avec un veston sport.
Je buvais mon verre de vin tranquillement en me disant qu’elle ne manquait pas d’audace en m’invitant comme ça pour une souper.
À 18 h 55, j’entendis un petit toc toc à ma porte. J’étais prêt. Un dernier coup d’œil au miroir pour m’assurer de ma présentation puis j’ouvris la porte.
WOW! Elle était à couper le souffle. Ses yeux étaient légèrement maquillés, ses lèvres me semblaient irrésistibles, ses cheveux étaient différent de cet après-midi et mettaient davantage la beauté de son visage en évidence. Elle me sourit.
Je peux entrer? dit-elle.
Oui, oui, excuse-moi.
Elle remarqua que j’avais un verre de vin sur la table et me dit : tiens, tiens, monsieur se permet une petite gâterie. Serait-ce d’abuser que de te demander s’il t’en reste encore?
Oui, je viens à peine d’ouvrir la bouteille lui répondis-je. Tu en voudrais un verre avant d’aller souper?
Oui s’il te plaît.
Très bien, tu veux retirer ton manteau? ( elle portait un long manteau, classique attaché à la taille)
Non , dit-elle, j’ai encore un peu froid.
Je me retourne vers le bar pour prendre un verre et retourne à la salle de bain chercher la bouteille que j’avais oublié sur le comptoir.
En revenant dans la pièce, je la découvris assise au pied du lit. J’étais abasourdi.
Elle avait retiré son long manteau et déposé celui-ci sur le dossier d’une chaise. Elle portait sous ce manteau, que comme simple appareil, des dessous d’un chic fou et pigeonnant.
La voir là sur mon lit, assise, en simple dessous et talons aiguilles noirs me figea sur place. Elle me regarda dans les yeux d’un regard pénétrant et me dit : puis, est-ce que cela correspond à l’image que tu t’étais faite cet après-midi lorsque tu m’as déshabillé du regard en plein milieu de l’atelier?
Elle glissa une main dans sa petite culotte, sourit et à nouveau en me regardant dans les yeux me dit, je pense que ton souper est prêt…
Elle écarta les jambes et pressa sa main dans sa petite culotte et m’invita à la rejoindre sur le lit.
En deux temps trois mouvements, j’avais une érection très évidente. En m’approchant d’elle et mis sa main sur mon jeans, pressa légèrement sur ma queue bien bandée et me dit : « je suis convaincue que cette queue là va me faire jouir ce ne sera pas long. » Puis elle dézippa ma braguette avec une telle rapidité et engouffra ma queue dans sa bouche, la ressortit puis la lêcha doucement toujours en me regardant et en souriant. Elle semblait avoir un plaisir fou à voir mon état de surprise.
Puis elle s’arrêta sec et m’indiqua que as chatte était prête à se faire savourer.
J’étais peu habitué à lécher la chatte d’une femme mais cette invitation était difficile à refuser. Je m’exécuta. Sa chatte était gonflée et déjà ruisselait du plaisir qu’elle s’était procuré. Elle goûtait bonne. Sa main pressait ma tête dans son entrejambe. Son dos s’arquait tant son plaisir était fort.
Puis elle m’arrêta, me coucha sur le dos et s’installa au dessus de moi la chatte encore prête à se faire déguster. Je léchais cette chatte depuis quelques minutes déjà lorsque soudain je la surpris en train d’insérer un de ses doigts dans son joli petit cul. Elle connaissait son corps et savait prendre son plaisir. Ses mouvements de va et vient dans ce joli petit cul gonflait encore davantage sa chatte. En moins de temps qu’il n’en faut elle avait atteint un premier orgasme. Ses jambes shakaient, elle agrippait fortement ma tête entre ses cuisses.
Puis un calme plat s’installa mais ne dura pas très longtemps. Elle me regarda et me dit à ton tour darling de te faire gâter. Elle m’embrassa tendrement puis sa bouche s’entrouvrit et nos langues se croisèrent de longues minutes. Elle glissa doucement le long de mon torse. Je sentais ses seins dressés sur mon corps. Enfin, elle arriva à la hauteur de « Pepito » et glissa sa langue sur toute sa longueur de ma verge tendue. J’avais l’impression que j’allais exploser d’une seconde à l’autre. L’excitation était à son comble. Je la retenais pour ne pas m’échapper.
Elle me dit : laisse-toi aller. Tu vas voir ça sera encore mieux pour le 2ième round…à peine l’avait elle dis que j’explosais.
De sa main droite, elle recueilli entre ses doigts ce qui s’étais retrouvé sur le bord de sa bouche et lécha ceux-ci d’une façon que j’aurais eu peine à même imaginer dans mes fantasmes
Im in for Christmas
xxx